La Compagnie On Off présente Le Chant de l’eau au festival WOMADelaide

La Compagnie On Off Le Chant de L'eau
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La Compangie On Off présentera Le Chant de l’eau en exclusivité à WOMADelaide le mois prochain. C’est la première fois que la compagnie se produit en dehors de l’Europe, nous sommes donc très chanceux qu’elle vienne à WOMADelaide 2024 ! Nous nous entretenons avec Cécile Thircuir, fondatrice et directrice artistique de la Compagnie On Off. Lisez notre interview par la suite.

La Compagnie On Off Le Chant de L'eau

LA COMPAGNIE ON OFF

Où en France êtes-vous basé ?

Nous sommes basés à Lille, une ville magnifique située dans le Nord de la France. Nous sommes littéralement à deux pas de la Belgique, ce qui nous permet de bénéficier de l’influence de nos voisins belges en matière d’humour et d’autodérision. L’ambiance ici est toujours chaleureuse et conviviale, même si le temps peut parfois être pluvieux et gris. Nous sommes impatients de voir arriver un peu de réchauffement climatique pour égayer nos journées !

 

Pouvez-vous nous parler du parcours de la Compagnie On Off depuis sa fondation en 2003 et comment elle a évolué au fil des années ?

Depuis sa fondation en 2003, la Compagnie On Off a parcouru un chemin passionnant et diversifié. Nous avons commencé par créer des spectacles qui mêlaient musique savante et musique populaire : Opéra et chansons. Nous avions envie de créer des passerelles entre les arts nobles et les arts moins considérés.  C’était aussi une façon de créer des passerelles pour les publics.

 

Nous avons eu la chance de jouer dans lieux très variés allant de salles des fêtes au fin fond de notre région, comme dans des grandes scènes de théâtres, des maisons d’arrêts, des hôpitaux, des réfectoires de maisons de retraites, de prestigieux festivals. C’est une chance d’être en contact des réalités sociales et culturelles multiples.

 

En 2013, nous avons créé des livraisons de chansons à domicile et à mobylette. Les artistes livrent des chansons dédicacées comme un bouquet de fleur. Ce « spectacle concept », toujours d’actualité d’ailleurs, a été merveilleux d’enseignement. Il nous a permis de réaliser que le précieux de notre métier réside dans l’émotion et le lien partagé lors d’une expérience artistique. Cela a modifié notre conception même de la place du public dans nos spectacles pour lesquels nous cherchons toujours à donner à vivre et éprouver une expérience.

 

Le Chant de l’eau arrive après 20 années d’amour pour le vivant, les êtres vivant et complexes que nous sommes ! Nous pourrions vous écrire des pages entières sur ce que signifie célébrer, éprouver et partager nos humanités ! Mais le plus simple, reste de tenter l’expérience du Chant de l’Eau non ?

Voici une présentation plus classique de la Cie si vous souhaitez vous en inspirer:

Au cœur de notre démarche artistique réside une conviction : c’est le/la spectateur.rice qui, par son vécu et sa sensibilité, donne vie au spectacle. Depuis sa création en 2003, la Compagnie On Off s’engage à établir un dialogue vibrant avec les publics, avec simplicité et convivialité. Elle explore les territoires de l’affect, du social, du biologique et du cognitif, tout en cultivant un profond respect pour le monde qui nous entoure et pour le vivant dans toutes ses formes.

Notre travail, à travers nos 9 créations, se fonde sur une alchimie entre les expressions artistiques : le chant se mêle au théâtre, la musique populaire à la musique savante, et le poétique au burlesque, dans une quête constante d’originalité, de pertinence, et d’expériences partagées.

Sous la direction de Cécile Thircuir, la Compagnie On Off se développe autour d’une vision artistique riche et diversifiée, marquée par des projets d’ampleur et des initiatives de territoires.

Notre approche allie rigueur créative et ouverture à la diversité humaine, avec générosité et humour, reflet de notre engagement envers une excellence artistique, en toute humilité.

 

Comment définiriez-vous l’approche artistique de la Compagnie On Off, en particulier en ce qui concerne la création de situations qui remettent en question les aspects affectifs, sociaux, biologiques ou cognitifs ?

Notre approche artistique à la Compagnie On Off se distingue par notre passion pour l’exploration et la remise en question des différents aspects de la vie humaine. Nous croyons fermement en la richesse et la diversité de l’intelligence humaine, qui se manifeste à travers une multitude de formes : linguistique, logique et mathématique, spatiale, intra-personnelle, interpersonnelle, corporelle et kinesthésique, musicale, naturaliste, existentielle…Pour nous, ces formes d’intelligence offrent un vaste terrain de jeu et d’exploration.

 

Dans nos projets artistiques, nous utilisons et imaginons des outils pour entrer en contact avec ces multiples formes d’intelligence, en mettant parfois de côté la logique et les mathématiques. Quoique… Nous sommes constamment à la recherche de chemins pour créer pour créer des expériences ou pour susciter un mouvement, de la réflexion et/de l’émotion chez nos publics.

 

En parallèle des spectacles que nous proposons, nous imaginons des projets spécifiques avec des publics amateurs, dans des hôpitaux, avec des jeunes lycéens ou collégiens, avec des personnes en errance ou sans-papier. Pour nous, une pratique artistique ne se limite pas à la scène ; elle est avant tout un moyen de connecter les gens, de susciter la compréhension et l’empathie, et de promouvoir le changement social.

 

Pouvez-vous nous parler du rôle de la recherche en sciences sociales et en neurosciences dans l’élaboration des expériences produites par la compagnie ?

Nous sommes des curieux, des passionnés par le fonctionnement et la complexité de l’être humain, dans son corps, dans son psychisme et dans ses émotions et sensations. Lorsque nous travaillons un sujet, nous immergeons dans la littérature spécialisée, écoutons des podcasts et regardons des documentaires. Des sources telles que Arte et France Culture sont nos précieuses ressources d’informations.

 

En particulier, je me forme à l’étude des neurosciences affectives et à la sociologie clinique, en plus de sa formation en Gestalt thérapie issue des courants humanistes qui permet une approche des neurosciences affectives et à la sociologie clinique. Cette approche permet de nourrir nos propositions artistiques et de nous aventurer dans des territoires riches en infinis.

 

En quoi consiste le processus de création au sein de la compagnie, notamment en ce qui concerne l’utilisation du chant, de l’invention et de l’humour comme outils privilégiés ?

Chaque création est comme un voyage où le chant, l’invention et l’humour sont nos compagnons de route privilégiés. Le chant occupe une place centrale dans notre travail ; c’est notre moyen d’expression par excellence. Nous puisons principalement notre répertoire dans le patrimoine musical existant, comme autant de madeleines de Proust qui éveilleront un souvenir, une empreinte chez l’auditeur.ice. Chaque morceau choisi est une invitation à revisiter le connu pour mieux s’aventurer vers l’inconnu.

 

Nous ne composons pas de musique, mais nous passons beaucoup de temps à arranger les morceaux, cherchant à les transformer pour surprendre et émouvoir. C’est une manière de faire confiance au spectateur, de l’inviter à co-créer l’expérience du spectacle vivant à partir de son propre univers intérieur, son bagage culturel, émotionnel et notre touche artistique.

 

L’humour joue un rôle primordial dans notre travail. Il est le fil conducteur qui allège nos propos et facilite l’accès aux couches les plus profondes de l’émotion.

 

Le rire, c’est un peu comme une potion magique : il libère, il rassemble, il se propage comme une onde de bonne humeur. C’est notre façon de dire que même si nous prenons notre travail très au sérieux, nous ne nous prenons pas nous-mêmes au sérieux. Vous ne nous verrez pas traîner au bar jusqu’au bout de la nuit lorsque pendant le festival, nous serons in bed, to sleep ! Un brin rabat-joie peut-être ?

 

Quels sont les objectifs principaux que la compagnie cherche à atteindre à travers ses créations et ses interventions artistiques auprès des publics ?

Les objectifs de la compagnie sont simples, mais profondément significatifs : partager des expériences de vie intenses et singulières avec nos publics.

 

Chaque création, chaque intervention artistique est une occasion de créer des moments que nous espérons inoubliables, des instants de connexion authentique.

 

Nous mesurons le succès de nos projets non seulement par l’appréciation du public lors des représentations, mais aussi par les témoignages qui nous parviennent par la suite. Notre « Gold Book » regorge de messages touchants qui attestent de ce que nous avons vécu ensemble.

 

Recevoir des retours, parfois même des années après nos interventions, est une véritable récompense et une source d’émerveillement qui donne de l’élan pour continuer notre travail.

 

Nous ne nous considérons pas comme des artistes, mais plutôt comme des facilitateur.ice.s de rencontres, des artisan.e.s du partage et de la vie.

 

Nous essayons aussi d’offrir simplement qui nous sommes, pour que cela résonnent dans les cœurs longtemps après les derniers applaudissements.

 

Pouvez-vous nous en dire plus sur le rôle de Sébastien Vial en tant que co-directeur artistique depuis 2018 et comment cela a influencé la dynamique de création de la compagnie ?

Sébastien Vial a été un co-directeur artistique précieux pour la compagnie depuis 2018, apportant sa créativité et son talent à notre dynamique de création. Sous sa direction, nous avons vécu des moments artistiques intenses, dont la naissance du « Municipal Bal » qui restera gravée dans nos mémoires.

 

Malheureusement, Sébastien a décidé de quitter la compagnie, et nous sommes encore en train de digérer cette nouvelle. Les séparations sont toujours difficiles, et nous sommes confrontés à un mélange de tristesse et de frustration. Cependant, nous sommes reconnaissants pour ses contributions et pour l’alchimie artistique qui a émergé de notre collaboration.

 

Nous préférons pour le moment nous concentrer sur les moments de joie et d’inspiration que nous avons partagés avec Seb, tout en tournant progressivement la page vers de nouveaux horizons pour la compagnie.

 

LE CHANT DE L’EAU

Vous présenterez votre spectacle Le Chant de l’eau au festival WOMADelaide le mois prochain. Parlez-nous un peu de ce spectacle.

Notre spectacle Le Chant de l’Eau, que nous aurons le plaisir de présenter au festival WOMADelaide le mois prochain, est une expérience que nous attendons avec impatience ! Youpiiiiiiiii !!! Nous sommes infiniment reconnaissants à Ian Scobie pour cette merveilleuse invitation et à toute l’équipe fantastique du WOMAD.

 

Le Chant de l’Eau est une expérience à la fois légère et profonde. Nous espérons qu’il apportera une bouffée de fraîcheur au public, tout en le touchant au plus profond de son être par son authenticité.

 

Ce spectacle n’est pas conçu pour stimuler uniquement l’intellect, mais vise plutôt à éveiller les sens, à résonner dans le corps et à nourrir l’imagination de chacun. Nous invitons le public à se laisser emporter par la magie de l’instant présent, à se laisser imprégner par les vibrations de la musique pour une expérience immersive et joyeuse.

 

Ce spectacle est l’un de trois sous forme the thérapies brèves et l’un d’un un ensemble de 4 propositions artistiques qui gravitent autour du thème de l’eau. D’où est venu l’inspiration pour ces 3 spectacles et concert ?

L’eau est une source infinie d’inspiration et de fascination. C’est un sujet qui touche à tant d’aspects de nos vies et de notre monde. D’un point de vue environnemental, c’est une ressource précieuse dont la préservation est cruciale. D’un point de vue symbolique, c’est un élément vital qui représente la vie elle-même, et qui a inspiré des poètes, des écrivains et des artistes à travers les âges.

 

L’eau est également au cœur de nombreux domaines, de la science à la médecine, de l’industrie à la religion. Les agriculteurs, les jardiniers et même les enfants sont fascinés par l’eau. C’est un thème universel qui offre une richesse inépuisable de réflexions et d’explorations.

 

Pour aborder cette diversité de perspectives, il semblait nécessaire de créer trois spectacles et un concert, et même ainsi, nous ne faisons qu’effleurer la surface de ce sujet vaste et complexe. L’eau est véritablement un puits sans fond de richesse et d’inspiration.

Compagnie On Off Le Chant de l'eau Photo: Hervé Escario (3)
Photo: Hervé Escario (3)

 

Quand on dit que c’est une thérapie de l’eau ce spectacle-ci ne contient pas d’eau mais c’est les sons d’un flux d’ondes apaisantes, n’est-ce pas ? Quels instruments employez-vous pour avoir cet effet – dans le teaser j’ai remarque une harpe et une sorte de violon.

Merci pour votre observation perspicace ! En effet, notre spectacle Le Chant de l’Eau est une thérapie de l’eau sans eau physique. Nous utilisons plutôt les sons pour évoquer un flux des ondes.

 

Pour créer cet effet, nous employons principalement la harpe, un instrument qui évoque naturellement la délicatesse et la fluidité de l’eau qui chante, un peu comme des gouttes d’eau qui clapotent. Nous utilisons deux harpes, l’une statique et l’autre portative, pour enrichir encore davantage cette atmosphère envoûtante.

 

Quant aux voix, ce sont nos instruments principaux. Elles ajoutent une dimension humaine et émotionnelle à la musique, nous permettant de communiquer directement avec nos spectateurs et d’impulser des good vibrations. (Ah, est-ce un indice pour un morceau du répertoire?)

 

Bien sûr, il y a de l’eau dans notre spectacle, mais nous réservons quelques surprises pour ceux qui viennent nous voir en direct. Après tout, un peu de mystère fait partie intégrante de l’expérience artistique, n’est-ce pas ?

 

Le Chant de l’eau est mené par un personnage Lucy Martin. Est-elle basée sur quelqu’un réel ?

Lucie Martin, ou Lucy Martin, est un personnage fictif que nous avons créé pour Le Chant de l’eau ainsi que pour les trois autres pièces et le concert. Elle est un mélange d’inspirations diverses et ne repose pas sur une personne réelle spécifique. Nous avons décidé de lui donner une origine différente selon que nous jouons en français ou en anglais. En français, elle est de Liverpool et s’exprime avec un accent so british, tandis qu’en anglais, elle vient de Bordeaux et assume pleinement son accent français ! Ca va? Tout le monde suit ?

 

Au WOMAD, nous présentons la version anglophone, mais nous adorerions jouer la version française ! Avis aux amateur.ice.s.

 

Ce personnage exubérant et passionné est né de nos recherches préparatoires sur les théories controversées de la mémoire de l’eau, les études scientifiques sur l’impact de la musique sur l’état émotionnel, le sommeil, l’anxiété, les maladies neurodégénératives, ainsi que sur les bienfaits du soin, de l’attention et de l’intention. Lucie est un peu fantasque, un peu folle, mais surtout pleine de joie et de passion, reflétant peut-être un peu de nous-mêmes.

 

Pourquoi est-il important pour vous de vivre cette « expérience intime, vécue en collectif, de lâcher-prise et d’abandon à l’instant présent. »

Aaaaaahhhh, le moment présent. C’est une quête et une conquête de chaque instant, n’est-ce pas ? Nous vivons dans un monde ultra rapide, où nous pouvons joindre le bout du monde en deux clics, où nous pouvons obtenir des réponses en quelques glissements de doigt sur un écran pas plus grand que la paume de la main ! L’instant présent est un luxe que nous souhaitons offrir, pour permettre un moment intime et incarné.

 

Une expérience intime, c’est être en contact avec soi-même, et la vivre en collectif lui donne une valeur supplémentaire. En tant qu’êtres sociaux, nous sommes naturellement attirés par le partage. Un repas pris seul et un repas partagé, même avec un inconnu, n’aura pas la même saveur ! Il y a dans ce type de partage une abondance d’amour universel et un effet miroir qui enrichit notre expérience. Comme le dit si bien Jean-Marie Robine, il s’agit de « s’apparaitre à l’occasion d’un autre ».

 

À première vue et dit comme cela, tout cela peut sembler compliqué, mais en réalité, c’est très simple. Il n’y a rien de nouveau, juste une nouvelle façon de le présenter.

 

Qu’est-ce que vous espérez produire dans les participants du Chant de l’eau ?

Nous espérons, fondamentalement, que le soin que nous apportons à nos spectateur.ice.s aura un effet en cascade, inspirant le bon et le beau et suscitant le désir de rayonner cette positivité. Nous aspirons à ce que Le Chant de l’Eau éveille avec douceur la conscience et l’incarnation de la valeur de la vie. Que nos corps, que l’eau, que notre planète entière soient vus comme des trésors précieux, et que nous soyons tous interconnectés.

 

Nous espérons modestement que les éléments d’imagination, de poésie, d’humour, de chants polyphoniques contribuent à une prise de conscience de notre merveilleuse existence, et de la beauté du monde qui nous entoure. Nous sommes conscients que nos aspirations peuvent sembler ambitieuses, voire prétentieuses, et qu’il est possible que nos efforts n’atteignent pas tout à fait notre objectif. Mais nous préférons essayer et échouer plutôt que de ne pas essayer du tout !

 

Le Chant de l’eau sera présenté trois fois par jour le samedi, dimanche et lundi de WOMADelaide. Combien de temps dure-t ‘il ce spectacle ?

Le spectacle dure 45 minutes.

 

Quels sont les défis de présenter Le Chant de L’eau a un festival de musique plein de musique des autres stages comme WOMADelaide?

Cette occasion est vraiment spéciale et excitante pour nous ! C’est une première ! Nous n’avons jamais eu l’opportunité d’aller aussi loin que l’Espagne, la Belgique (c’est juste à une vingtaine de kilomètres) ou le Luxembourg. C’est un cadeau de la vie.

 

Nous ne percevons pas vraiment de défis majeurs, si ce n’est celui de nous préparer au mieux pour l’événement. Actuellement, à l’heure où je vous écris, nous sommes en répétitions pour adapter le spectacle en anglais. Nous travaillons au Channel, Scène Nationale de Calais, un lieu extraordinaire qui nous offre une énergie et un soutien inconditionnel. Nous emporterons cette énergie avec nous dans nos valises pour le festival.

 

Pour être honnêtes, nous ne réalisons pas pleinement le trac qui nous attend lorsque nous prendrons réellement conscience de l’ampleur de cet événement. Mais pour le moment, notre naïveté nous protège, et c’est très bien ainsi.

 

Nous avons une grande confiance en Ian Scobie, qui nous a programmés. Voilà… Nous sommes impatientes de profiter de sa programmation exceptionnelle, et surtout, de rencontrer ce continent et ses habitants !

 

Est-ce que vous avez déjà présenté Le Chant de l’eau ou d’autres spectacles en Australie ? Seriez-vous dans d’autres festivals/lieux en Australie ?

Non, rien, aucun.

 

Que souhaitez-nous dire de plus ?

Vos questions étaient incroyablement pertinentes. Elles m’ont demandé de me creuser le ciboulot et je suis rincée !

Nous remercions Cécile Thircuir pour cet entretien et sommes impatients de découvrir Le Chant de l’eau de la Compagnie On Off à WOMADelaide 2024.

 

INFOS CLÉS POUR LE CHANT DE L’EAU

QUOI : La Compagnie On Off présente Le Chant de l’eau

OÙ : Uniquement à WOMADelaide 2024 au Botanic Park, Adélaïde

QUAND : Trois fois par jour du samedi 9 au lundi 11 mars 2024

COMMENT : Achetez un billet pour WOMADelaide 2024 sur son site Internet.

COMME : Cela dépend du billet que vous choisissez, qui dépend du nombre de jours pendant lesquels vous souhaitez assister à WOMADelaide.

 

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